L'Essuie-Fraise & Abricot : 

Résultats de l'étude clinique
Étude réalisée sous contrôle médical sur 20 participants (tous types de peaux) qui ont utilisé le produit pendant 3 semaines en l’appliquant 2 fois par jour :

- 100% trouvent que le produit est agréable à utiliser
- 100% trouvent que le produit respecte l’équilibre cutané
- 100% trouvent que le produit nettoie en douceur
- 100% trouvent que le produit élimine les odeurs désagréables
- 95% trouvent que le produit limite les risques de problème d'hygiène (type infections urinaires, mycoses ou autres)

* Étude réalisée auprès de 54 médecins en novembre-décembre 2019
** Étude réalisée auprès de 500 client(e)s en mars 2020
*** Enquête réalisée par YouGov France, institut indépendant, en ligne, en juillet 2019, sur 1001 adultes représentatifs de la population française de plus de 18 ans
**** Sondage réalisé en ligne du 10/06/2018 au 10/07/2018 auprès de 328 répondant(e)s

Étude auprès des médecins (réalisée pour l’équivalent masculin L’Essuie-Fraise)

- 9 médecins sur 10 recommandent aux hommes une hygiène intime irréprochable avant et après tout rapport pour limiter le risque de contamination pour soi et pour sa/son partenaire*
- 86% des médecins interrogés lors du congrès annuel de l’urologie ont déclaré qu’ils recommanderaient L’Essuie-Fraise à leurs patients*

Étude auprès des consommateurs (réalisée pour l’équivalent masculin L’Essuie-Fraise) :

- 1 personne sur 2 déjà dérangée par l’odeur intime de son compagnon***
- 3 personnes sur 5 offriraient un petit plaisir plus fréquemment à leur compagnon s’il prenait mieux soin de son hygiène intime***
- 4 personnes sur 10 prêt(e)s à acheter des lingettes intimes dédiées aux hommes pour leur compagnon s’il ne le faisait pas****
- 100% des utilisateurs l’ayant testé lors de son étude clinique et plus de 97% de nos clients trouvent que notre produit nettoie et élimine efficacement les odeurs**

La Lingette Barrière : 

10 fois plus de bactéries que sur les toilettes !

D’après une étude réalisée par des chercheurs de l’université d’Arizona aux Etats-Unis et reprise par le Time, les smartphones portent en moyenne 10 fois plus de bactéries que les toilettes, dont les E. coli, que l’on retrouve dans les matières fécales.

Vecteur de transmission du COVID-19

Les virus peuvent aussi être transmis en manipulant le smartphone de quelqu’un d’autre, ou en touchant une surface contaminée puis son téléphone puis son visage. Selon une étude publiée dans le New England Journal of Medecine le 16/04/2020, le coronavirus peut survivre jusqu’à 4 heures sur du cuivre, 24 heures sur du carton, et 72 heures sur du plastique et de l’acier. Certes, le risque de contamination par manipulation de ces surfaces réduit avec le temps, mais comme nous touchons notre téléphone plusieurs fois par heure, la prudence est de rigueur.

Les gels et solutions hydroalcooliques ne sont pas adaptées

Les solutions hydroalcooliques pour les mains ne sont pas efficaces sur les surfaces inertes en raison de leur formule à base de glycérol. Il s’agit de biocides TP1 (pour l’hygiène des mains) et non de biocides TP1 et TP2 (pour l’hygiène des mains et des surfaces) comme l’est La Lingette Barrière.

De plus, comme le précise le communiqué de l'Académie Nationale de Médecine datant du 7 avril 2020, la glycérine et l’eau oxygénée qu’ils contiennent pourrait endommager les appareils électroniques.

Enfin, les lingettes désinfectantes pour les surfaces (ex. lingettes ménagères) ne sont en général pas adaptées à l’hygiène des mains (ce sont uniquement des biocides TP2).